Luxure, tennis, & Yaoi.

ENJOY.

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Bill's Point Of View.

[...]

Une fois rentré et une douche prise, je raconte ma journée à mon confident. Le seul. Celui qui connait mon seul et ultime secret. Bon dieu.
Une heure passée à écrire, à faire même parfois des dessins sur mes malheurs de tous les jours, entre tout le lycée qui se moque de moi, mon secret à garder et mes études ...

Je suis en première année de sport études. Oui je sais ... Quand on me voit on ne dirait pas ça. Je fais 60 kilos tout mouillé en tenue de ski. Je suis très grand, environ un mètre quatre-vingt cinq. Vous voyez un peu. Je suis vraiment TRES fin, avec un style androgyne, je crois que vous savez ce que ça veut dire. Veste en cuir, pantalons moulants, bottes, bretelles, et hauts moulants. Je me fais souvent brimer à l'école pour mon apparence. Enfin. Je subis ça depuis le collège. Donc...

Donc comme je vous le disais, je suis dans la grande académie de Londres. La plus grande et la plus prestigieuse où tous les grands et grandes joueurs de Tennis sont passés pour atteindre le niveau qu'ils ont aujourd'hui. Impressionnant, n'est ce pas ? Vous y trouverez tous les plus grands entraîneurs et coaches sportifs du monde.

Le tennis est pour moi une passion depuis ... Depuis que je sais tenir un biberon. Pourtant aucun de mes parents ne pratiquent. Je ne sais pas du tout d'où ça me vient. C'est une passion. C'est tout.

J'allume mon ordinateur après avoir soigneusement rangé mon journal intime. Je sais que ma mère va le chercher. Elle le fait toujours. Je ne suis pas du genre bavard. Je ne parle a personne ... Ou presque. Que l'essentiel. Je n'aime pas étaler ma vie au grand jour ... Je ne suis pas du genre à faire un blog, me montrer dans tout les sens. Non, je suis ... Vraiment ... Ce qu'on appelle timide, je suis incapable de parler à quelqu'un que je ne connais pas. Même à la caisse d'un magasin, ou a une vendeuse. Demander quelque chose au restaurant est tout un problème. Je crois même que c'est maladif. Mais j'assume. C'est déjà ça j'estime.

D'où vient cette timidité ? Je n'en sais rien. Aussi loin que mes souvenirs veulent bien me ramener, j'ai toujours été timide. Même quand on me demandait, à la maternelle ; si je voulais jouer avec les autres, je préférais rester dans mon coin. Je pense que je suis né avec. C'est un trait de mon caractère.
Mes parents se disent, que c'est très étrange, qu'un garçon aussi timide, peut être aussi « performant » au tennis. Je pense ... Que ... Vous savez. Quand vous tapez une balle de tennis que vous y mettez toute une rage ... Vous n'avez qu'une envie, c'est de crier. Et ça, c'est ce que j'aime. Me dépenser en frappant la balle. Courir pour la rattraper et mettre mon adversaire en situation compliquée. Même si on arrive pas à la rattraper. Il faut toujours essayer. Le tennis est une façon pour moi de me libérer de ma timidité. Il n'y a pas de timidité et d'amitié sur le terrain. Vous êtes là pour vous battre. Si vous n'êtes pas motivé, vous n'arriverez à rien. Et vous pouvez dès votre arrivée sur le terrain, déclarer forfait.

Alors il faut se battre. Ce que je ne fais pas dans la vie.

Mon look androgyne y est pour beaucoup dans tout ça. En voulant essayer d'être différent, je ne fais qu'augmenter mes chances de me faire remarquer. Avec ce que je porte, il est impossible de ne pas me faire repérer dans la cour de l'école. Et ce depuis ... La cinquième. Je soupire tout seul dans ma chambre. Je me suis fait taper quelques fois, mais rien de bien méchant. Je n'étais pas vraiment leurs cibles préférées. Je grimace ...

Heureusement, sinon je ne serais peut être pas là aujourd'hui.

Ce que me font endurer les gens, me forcent, quelque part, à créer ma carapace et ne faire confiance à personne.

Alors comme je ne parle pas, j'écris ... J'écris des pages entières. je raconte à mon journal. Ma vie. Mes journées. Mes moments de tristesse. Mes peines de cœur ... Enfin. C'est grand dire. Je ne suis jamais sorti avec personne. Vous imaginez ... J'ai été amoureux. Oui. D'abord d'une fille ... Puis de garçons de plus en plus. Ca m'a d'abord étonné. A 15 ans, Jérémy, hétéro, grand brun, aux cheveux étonnement noirs, yeux verts, magnifique, d'une gentillesse étonnante.1 mois après ... Je l'ai vu sortir avec Amélie, s'embrasser dans un coin de la cour ... J'en ai pleuré pendant des journées entières, mouillant mon journal intime ...

Je ne sais pas vraiment ... Si personne ne veut de moi ou si je ne veux de personne. Je pense que c'est un peu des deux. Personne, en tout cas aucun garçon, n'est jamais venu me dire qu'il m'aimait ou même m'appréciait. Je n'ai pas d'amis et encore moins de meilleurs amis. J'en avais, en primaire. Mais on évolue, on se perd de vue au collège. On ne se considère plus comme des amis, mais plus comme des connaissances ... On n'en vient à ne même plus se dire bonjour ...

Je soupire derrière mon écran d'ordinateur quand j'ouvre Word, pour ma dissertation de Français. C'est parti ...

[...]

Evidement.

( sisi accro , n'ayons pas peur des mots ! )

Désolé pour le Double Post !

Voici Voici !

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Elles étaient moi.

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Je rappel que cette fiction est une Fiction : Male Pregency !

Définition : Un Homme qui tombe 'Enceinte'. Grossese Masculine.

Vous trouvez sa bisard ? Moi aussi à la premiere approche, mais je peux vous dire que ça donne vraiment bien [ Si c'est bien ecrit bien sur, ce que je m'efforce de faire ><"]

Bref, Ce n'est pas le sujet.
Vous en pensez...?

Désolé pour le double post !

C'est de la triche .____.
Bouhouhouuuu Merci qu'a même =D
Mdrrrr Je conais sa t'inquiette XD
C'est dure c'est notre premier fiction donc, voila quoi, on veux trop que sa se fasse et tout ! XDDD


Ahlahlahla =')

Chapitre 4

Je le suivait a la trace. Presque à l'odeur. Depuis que j'ai lu ce qu'il avait dit sur moi, les gens me paraissait moins...con ? Oui. C'est bisard, vu que je n'ai vu que le commentaires d'une personne. C'était impressionnant. J'avais toujours peur ; Oui. J'était effrayer.

Je me suis dit pendant un moment, que c'était pas possible. Que le monde ne pouvais pas être si gentil.

Eh bien si.

I
l était devenu mon monde. Je en pensais plus qu'a lui. Non je n'était pas amoureux, ou amouraché, non. Tout de même. Je ne sais même pas ce que sait. Je cherche la personne idéale, je la cherche plus depuis longtemps. Mais...il me semblait si sympathique. Si gentil et doux. Même avec sa petite amie. Il est si heureux avec elle.Il sourit tout le temps avec elle. Elle doit être gentil...je sais pas. Elle arrive a lui donner le sourire. Les jours ou il ne va pas bien. Mais il n'y a pas qu'elle dans sa vie. Il y a aussi sa bande d'amis. C'est mixte. Des fille set des garçons. Au allure, et look diffèrent les un des autres. Il n'y a pas l'air d'y avoir un chef. je trouve sa bien. Personne n'est supérieur a personne. Tout le monde s'aime. Et personne n'est mieux qu'un autre. Je trouve sa vraiment génial. Si seulement. Je pouvait faire partie de son monde. Oh oui. Je le veux vraiment.


Je soupire en me cognant la tête volontairement, sur ma table de court. Je vous rassure, il n'y a personne. Je suis rester après les court pour travaillez tranquillement . J'ai encore pensé a lui sans aucune raison. En sourit bêtement. Il m'obsède vraiment. C'est horrible. Mais j'y peut rien. Je le vois pendant la journée, une fraction de seconde, et mon cœur se met a battre a tout rompre, J'ai chaud, deviens sûrement rouge, et me met a l'évité. Même si il ne me voit pas. Pourtant je le hais comme je l'apprécie. Mais tout cela de loin. Sans le connaître. Je ne sais pas si j'ai envie.

Je ne sais plus rien.

Je soupir et finit de vérifier si tout mes devoirs sont fait. Ma mère est prévenu, Elle ne m'a pas demander pourquoi. Elle ne le demande jamais de toute façon. Je pense qu'elle s'en fiche. Tant que je rentre...elle prend conscience que je ne suis plus un enfant. Tang mieux. Pas que je sois un enfant genre « rebelle » Mais, connaissant ma timidité et sociabilités réduites ,elle sait que il fait me donner mes liberté.

Mes devoirs sont tous fait. Un poids en moins.Dans le geste pour ranger mon agenda, je fais tomber mon stylos. Je jure doucement, et me penche pour le récupérer.

Je lève les yeux du col en entendant la porte s'ouvrir. Mais il n'y personne a cette heure si...C'est peut être le concierge. Oh non. Je peu vous dire que ce que je vois n'as rien du vieux concierge méchant et bourru. C'est ...Tom.

Il me regardait. J'était...soulagé, et pétrifier a la fois. Son regard me transperçais ; j'était bloqué dans mon mouvement, mon souffle que j'avais oublier de reprendre, deviens soudain plus saccadé.

Tom était là ; il me regardait.

Mais il ne savait toujours pas qui j'était. Et sa, je ne savais pas si je le voulais ou pas.

Mon stylos roula jusqu'à ses pieds , chaussure de basket beige, allant avec sa casquette mise type Rappeur US' ; Il détourna son regard de moi, pour se poser sur mon stylos. Il se pencha pour le ramassé, et me tendis en me regardant en souriant. Je frémis . Pourquoi ? Parce que je n'ai jamais penser, qu'un de ses magnifiques sourire me serais adressé. Personnellement, du moins. Il me tendit un peu plus le stylos, en émettant un petit rire, lui aussi je ne m'y attendait pas.je fond littéralement sur ma chaise. Et manque de tomber de cette dernière.

Mon dieu , sa voix grave.

« Bah...C'est ton stylos non ? » me dit t'il entre un petit rire. Pas un rire moqueur, mais plutôt...amuser. Il a l'air si...mignon. Il faut que je parle. Allez Bill reprend toi Bon sang. Sort quelques chose. N'importe quoi...

« eum. Je. Mer' » non pas ce n'importe quoi. Je me sans rougire jusqu'aux oreilles. Il rigole un peu plus, et finit mon mot « ci ? Pas de quoi. J'était juste venus pour voir si- par chance- le professeur de science avait laisser les devoirs, mais apparemment, il est trop gentil pour...quel con. Bon . a plus ..Euh... » Il me regarde, espérant que je sorte un mot. Ou plutôt mon prénom. Il se penche alors sur mon cahier, et lit mon nom et prénom. Oh mon dieu. Non non non. Je viens de réaliser.

Je saute sur mon cahier et l'éloigne de des yeux noisettes. Le regarde effrayer. Je ne sais pas si il a eu le temps de lire. Il me regarde, les yeux ronds. Presque choqué. Le bouche encore ouverte. Il respire fort.
<< Bill ? Bill hardeson ?...Bill H...Mais Oui ?! >> je remballe rapidement mes affaires Presque un peu trop rapidement, puisque je renverse mon classeur de dessin, et mon livre d'histoire. De l'art.

« merde » criais-je. « attend ! Attend ! J'ai ton journal ! je suis de » bredouilla t-il en cherchant dans son sac mon journal.

je soupir, comme une plainte. J'ai peur. Je ne sais pas de quoi j'ai peur. Mais j'ai peur. Qu'il me juge mal maintenant. Pourtant je pensait tout le contraire. Mais là la situation est différente. complètement. Il est face a moi. Il est là. Je ne l'observe plus de loin. C'est lui plutôt dans ce sens là , qui m'observe. Je repris enfin connaissance et commença a ranger mes affaires tomber au sol, alors qu'il me criait de rester.
Je réussit enfin a rassembler toute mes affaires, avant de me précipiter a toute allure vers la sortit.
Mon cœur battait tellement fort. J'aurais cru qu'il allait sortir de ma poitrine.

Lui ? Ou ma course folle ?

Je me retourna, pour voir si personne ne me suivait ; personne. Parfait. Je m'adossa alors sur un des mur, et m'accroupi dos a celui ci. Le souffle court et profond. J'avais vraiment besoin de prendre mon souffle. Je me pris soudain dans un fou rire incontrôlé. Mon ventre me faisait mal, et ma gorge était sèche. J'avais envie de pleurer et de rire a la fois. Je ne savais pas pourquoi. J'était partager entre une cascade d'émotions, s'écoulant sur mon âme sans arrêt. Ne voulant cesser de couler. Je passa soudain de la joie a la tristesse, mes larmes se perlèrent de larmes, je voyais flou, mon souffle se faisait court. Vraiment court. Saccade. J'était fatiguer; d'un coup. Tout ses sentiment mêler, je n'était pas habituer a tout ça. Sa m'éreintait vraiment. Mais soudain une pensée me traversa ...et je souris.

Oui. Il avait mon journal intime.
Oui il avait ma vie entre ses mains.
Mais ce n'était peut être pas si terrible que ça.

Pourquoi suis-je si hésitant ? lui faisant confiance et appréhendant tout de même. Je mis ma tête entre mes jambes, et soupira bruyamment. Des milliard de chose me passèrent par la tête. Il fallait que je rentre. Tout de même. Je serais déjà plus au chaud, et je pourrait réfléchir tranquillement. A tout ça. Et qui sait ? il parlera peut être de cette rencontre sur son blog.
Une douce sensation me réchauffa le ventre, qui se tordit étrangement. Je frissonna pour la deuxième fois de la journée, et sourit en moi, en me mordant la lèvres.

Une rois lever du sol, je regardait mes chaussure en me disant qu'il fallait vraiment que je me cire mes Creepers quand je vis une chose par terre . Un cahier oublier ?
Je me pencha un peu pour mieux regarder...Mon dieu c'est ?

« Oh. Mon. Dieu. » Mon carnet était par terre poser a côté de moi. Dans aucune égratignures. Je me précipita déçu. Et l'embrassa comme un con.

C'était lui. Il me l'avait ramener. Je souris et pris mon sac par terre. Et courut vers le dernier bus après avoir pris soin de le ranger entre deux cahier.

Le sourire au lèvre, j'arriva a la maison, envoya balader toute mes affaires sur le lit, et ouvrit mon cahier, avec la ferme intention de tout lui raconter dans les moindres détails. Je l'ouvrit a la page ou mon marques pages était mis, je pris mon stylos, et m'apprêtais à écrire quand je vis une écriture qui n'était pas la mienne. Une doubles pages entières, je survola les lignes sans les lires véritablement. Mon nom était souvent répéter. A chaque débute et fin de phrase. Sa 'lettre' était signer d'un Tom. Avec un écriture magnifique belle. Simple et pencher de gauche a droite. Il était gaucher.

Je me mit à lire sa lettre.
J'ai rit, soupiré et pleuré.
Si type m'a fait sourire en une semaine, plus qu'une vie entière. Je commençait vraiment...A l'apprécier.